lundi 25 février 2008

"Le Mozart des pickpockets" a dérobé l'Oscar

Personne presque ne va l'évoquer j'en suis malheureusement certaines, caché derrière l'ovation pour Marion Cothillard et la "Môme"(bien mérité après tant d'oscars, césars remportés et autres objets lourds à but purment décoratif), mais la France a aussi été merveilleusement bien représenté chez nos voisins américains par deux splendides court métrage dont un a obtenu l'Oscar du meilleur court métrage (et le César, quelques jours auparavant). Il s'agit du film de Philippe Pollet-Villard "Le Mozart des pickpockets". Un court métrage sensible et tellement drôle à la fois, l'histoire parle d'une rencontre entre deux pickpockets par vraiment doués et un petit enfant sourd et muet.


Le deuxième nominé dans la catégorie des courts métrages d'animation, un vrai bijou aussi: "Même les pigeons vont au paradis" une animation de Samuel Tourneux (dont vous pouvez voir un extrait ici)

Sans oublier Perspolis que j'avais évoqué dans ce blog lors de sa sortie au cinéma ici, qui n'a pas gagné d'oscar (on lui a préféré Ratatouille) mais qui a tout même remporté 2 Césars.

symétrie, répétition

Anna Nordquist Andersson, un regard qui s'accroche s'arrête sur des petits moments, des occasions insignifiantes qui font sens à pour un instant. J'aime ses images si banales mais qui garde toujours un charmes fou, magie du miroir et de la symétrie.




atypique


Pousuite des escaliers atypiquesavec la réalisation de Gabriella Gustafson et Mattias Ståhlbom de TAF.

objet surréaliste

Cette tasse m'a fait comprendre la magie et la force du surréalisme. Elle est pour moi et je pense pour beaucoup d'autre aussi, l'ambassadrice du surréalisme. Elle est magnifique et répugnante à la fois. Mais surtout elle est la preuve que lorsque l'art rencontre les objets du quotidien (le design), il devient plus fort en touchant directement le spectateur qui peut ainsi se projeter directement dans l'imaginaire de l'oeuvre. L'objet du quotidien devenant une clé permettant d'ouvrir et comprendre ce qui est si dur a percevoir par moment dans un espace (ou image) si éloigné de notre réalité.
Merce Oppenheim, Object (Le Déjeuner en fourrure), 1936

cellule de vie

Une forme jaune gonflée et à l'intérieur un homme accomplissant des tâches quotidiennes, une baudruche gonflée imperméable au reste comme un peau protectrice. Un homme dans sa bulle, sa cellule de vie, son espace vital incompressible.
Oeuvres de Hans Hermmert qui sont devenues un classique en art contemporain certes, mais qui nous intrigue toujours autant.






dimanche 24 février 2008

gain de place

Qui a dit qu'un escalier était une perte de place.


réalisé pour un appartement londonien par levitate puis une autre solution plus passe partout (trouvé via: trendsnow).

Tetris

Quand le jeu Tetris se mèle dans notre intérieur. Je vous prose 2 interprétations légèrement différente du jeu.


Première proposition avec la série "Quad" de Dom Trapp








Deuxième de Jill Fehrenbacher