dimanche 20 janvier 2008

pleur mon enfant

Pleur mon enfant, regarde la terre que l'on te laisse en héritage, pleur, n'ai pas peur de regarder la terre tel qu'elle est, et pleur.
Jil Greenberg avec "End Times" a peut être trouver une solution pour ouvrir certaine conscience sur la situation actuelle de la planète que se soit du point de vu écologique, relation international...
Selon le Los Angeles Times […] “il y a quelque chose d’instinctif qui fait que vous avez envie de protéger les enfants, mais les gens prennent ces images au pied de la lettre, comme s’il était vraiment arrivé des choses affreuses à ces enfants.” De plus, explique-t-elle, les photographies ont été retouchées afin de donner aux visages un air encore plus bouleversé. Selon la photographe, “c’est la preuve de la force de l’image immobile”. […]
La photographe explique au quotidien américain que “ce travail dépeint les sentiments que ressentiraient les enfants s’ils connaissaient l’état du monde qu’on leur lègue”. Greenberg exprime par l’intermédiaire de ces enfants toute la frustration qu’elle ressent vis-à-vis du gouvernement américain actuel et des temps modernes en général, commente le journal.








Apparemment ce qui choc le plus certaines personnes, c'est le fait d'avoir fait pleurer des enfants, comme si ce crime était bien plus grand que celui que nous commettons tous quotidiennement au détriment de la terre. Une belle façon de n'est pas vouloir ouvrir encore une fois les yeux.
Greenberg explique […], dans les colonnes du journal australien Sydney Morning Herald, qu’elle a passé seulement quelques minutes à photographier ses modèles, alors que des producteurs embauchent des enfants pour faire semblant de pleurer dans des films dont le tournage peut durer des mois. “Je pense que, si les gens ont un problème avec ce que j’ai fait, ils devraient également en avoir un avec l’utilisation des enfants dans tous les autres médias.”

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