mercredi 30 janvier 2008

JK Keller





Un petit rappel du langage des signes en passant par un mur tout en ondulation, JK Keller est un artiste touche à tout dont je ne cerne, à vrai dire, pas bien le personnage. Le principal, c'est que le plus part de ces projets sont intéressants.



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mardi 29 janvier 2008

studio lo

Do it yourself, voilà la devise de ce groupe de designer Studio lo. J'adore le fait de pourvoir utiliser ces pochette pour cd comme d'un ornement mural et leur travail sur les découpes de leur chaise sans une chute inutile.





charme des aquarelles



La poésie et le charme des aquarelles sur céramique d'Helen Beard

lundi 21 janvier 2008

motifs je vous aime

Les architectes polonais Wojciech Kakowski, Natalia Paszkowska et Marcin Mostafa ont été choisis pour concevoir le pavillon polonais à l'Expo 2010 de Shanghai. Le motif ici vient tout droit d'un art traditionnel polonais de la découpe du papier. LE matériau découpé par le motif devient similaire à de la dentelle laissant rentrer la lumière. C'est séduisant, on aime le motif on le cri fort le plus possible avec des motif de plus en plus immense. Que ce soit par le regain du papier peint, l'amour pour les surcharges en ornement des textiles comme c'est si bien le faire Designer Guild ou encore l'arrivée du sticker que l'on décline à outrance et pas toujours avec finesse, va-t-on aime sans fin le motif? Moi j'adore et ne me plein gère de cette générosité pour l'ornement, mais vraiment est-ce que le motif reprend enfin sa place après avoir était mis aux oubliettes la plus grande parti du XXème siècle. Ou alors il n'est là que de passage, et dans quelques années on l'oubliera et méprisera de nouveau. Même si j'aime le motif, je penche plutôt pour la deuxième solution il suffit de regarder dans le passé avec les années 70 ou même dans les année 80 ou le pochoir était tellement vu comme la solution pour personnaliser son intérieur, le sticker n'en est qu'une simple copie et il disparaîtra sûrement comme son ancêtre le pochoir.





Mais pour l'instant savouront le motif, aimons le à outrance comme cela on sera assuré de faire un rejet dans quelques temps.

quelques taches de vert sur une ville de béton

En manque d'espaces verts, les habitants de la ville de Tokyo (que 4% d'espace vert) cherchent à mettre quelques touche de verdure dans leur milieu de vie. Les rues austères et grises reprennent des couleurs par petite touche ou grand regroupement de pot de fleur formant comme une sorte de buisson hybride, tout ça pour le plus grand plaisir des passants.
Vu sur Ping Mag.





dimanche 20 janvier 2008

plus et moins cher

C'est ce que le consommateur, mais vous n'avez pas l'impression que souvent on repart avec l'inverse: moins et plus cher. Moins de produit mais souvent plus de packaging, c'est ce qui fait vendre.
C'est ce que nous montre Tithi Kutchamuch avec "Less is more", n'empêche que moi je suis la première à tomber dans le panneau, n'étant une super fan de chocolat je trouve bien plus attractif de jouer à grignoter les silhouettes que de manger plus de chocolat.


pleur mon enfant

Pleur mon enfant, regarde la terre que l'on te laisse en héritage, pleur, n'ai pas peur de regarder la terre tel qu'elle est, et pleur.
Jil Greenberg avec "End Times" a peut être trouver une solution pour ouvrir certaine conscience sur la situation actuelle de la planète que se soit du point de vu écologique, relation international...
Selon le Los Angeles Times […] “il y a quelque chose d’instinctif qui fait que vous avez envie de protéger les enfants, mais les gens prennent ces images au pied de la lettre, comme s’il était vraiment arrivé des choses affreuses à ces enfants.” De plus, explique-t-elle, les photographies ont été retouchées afin de donner aux visages un air encore plus bouleversé. Selon la photographe, “c’est la preuve de la force de l’image immobile”. […]
La photographe explique au quotidien américain que “ce travail dépeint les sentiments que ressentiraient les enfants s’ils connaissaient l’état du monde qu’on leur lègue”. Greenberg exprime par l’intermédiaire de ces enfants toute la frustration qu’elle ressent vis-à-vis du gouvernement américain actuel et des temps modernes en général, commente le journal.








Apparemment ce qui choc le plus certaines personnes, c'est le fait d'avoir fait pleurer des enfants, comme si ce crime était bien plus grand que celui que nous commettons tous quotidiennement au détriment de la terre. Une belle façon de n'est pas vouloir ouvrir encore une fois les yeux.
Greenberg explique […], dans les colonnes du journal australien Sydney Morning Herald, qu’elle a passé seulement quelques minutes à photographier ses modèles, alors que des producteurs embauchent des enfants pour faire semblant de pleurer dans des films dont le tournage peut durer des mois. “Je pense que, si les gens ont un problème avec ce que j’ai fait, ils devraient également en avoir un avec l’utilisation des enfants dans tous les autres médias.”

samedi 19 janvier 2008

le textile de mes rêves

Ni trop symétrique ni trop répétitifs, mais un peu des deux à la fois. Cette étoffe brodé à la main par les indiens otomi du mexique, un prix certes à trois chiffres mais le travail réalisé est long (presque 3 mois) et il faut bien soutenir les veilles traditions qui s'effilochent, et surtout c'est quand même un textile de rêve.
Trouvé sur Design*Sponge et vendu sur Jacaranda.